Comment les négociations sur le Pacte vert pour l’Europe ont-elles abordé la question de la cohésion sociale ?

Je suis pleinement conscient qu’il y a beaucoup de travail devant nous pour nous assurer que les villes puissent acheter des bus à zéro émission. Ces achats sont financés par les contribuables et cela doit être pris en considération. Le dialogue avec le secteur des transports en commun doit vraiment s’intensifier car il restera essentiel pour une mobilité abordable.

Nous avons fait la moitié du chemin et l’intention est claire : garantir la durabilité, l’équité et l’accessibilité. L’Europe peut aussi être un lieu de construction d’alliances, nous sommes prêts à travailler en étroite collaboration avec les villes et les régions pour avancer dans cette voie. Si les villes et les régions investissent ensemble dans les transports en commun à zéro émission, elles peuvent également obtenir un meilleur prix. Nous devons aussi consacrer beaucoup plus d’attention aux communautés rurales pour qu’elles aient également toujours accès à la mobilité.